Arashiyama, Kyoto: Un voyage à pied de bricolage

Il y avait quatre photos suspendues sur un mur juste à l’extérieur du temple Tenryuji. Chaque cadre présentait le caractère visuel du site par saison – vêtu des couleurs ardents de l’automne, vêtues de neige blanche en hiver, ornée de la lueur rose de cerisier au printemps et, enfin, noyée dans une mer de verdancie en été . Trois des quatre scénarios auraient été un régal pour la première fois. Je n’avais jamais vu de feuilles d’automne ou de neige ou de fleurs de cerisier. Malheureusement pour moi, c’était au milieu de l’été.

La forêt à feuilles caduques du district d’Arashiyama était très luxuriante et verte – terriblement verte – lors de ma visite. Le vert est super; J’adore le vert. Mais en tant qu’homme qui était originaire d’une île tropicale recouverte de moquettes dans des forêts tropicales à feuilles persistantes, ce n’était pas vraiment la couleur que j’étais ravie de bombarder mes yeux. Plus je suis entré dans l’endroit, plus j’ai réalisé que c’était une erreur de réservation de billets de juin pour le Japon. À quoi je pensais? Est-ce que je pensais même quand je l’ai réservé? Mais me donner des coups de pied dans le cul n’a duré qu’une minute. L’été n’est peut-être pas le meilleur moment pour être ici, mais la doublure en argent proverbial est apparue au milieu de la verdure. Il y avait moins de touristes, et le temps était agréable, idéal pour une longue promenade l’après-midi. Cela ou je maîtrise l’art du citron doux. Tee-hee.

Qu’est-ce qui est couvert dans ce guide?

Pont Togetsukyo
Temple Horinji
Temple Tenryuji
Sanctuaire non oméméré
Foret de bambou
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Pont Togetsukyo

À cheval sur la rivière ōi, le pont Togetsukyo est l’une des photos les plus renommées de Kyoto. Au printemps, lorsque les fleurs de cerisier décorent les rives de la rivière, le pont constitue un sujet parfait pour la carte postale. Construit en 836 pour offrir un meilleur accès au temple Horinji à proximité, il est devenu une structure renommée, représentant l’accès aux Japonais au mode de vie passé et facile. Son nom, qui implique «Lune Crossing», lui a été accordé par l’empereur Kameyama. Parce qu’alors, il a vu des guerres féodales, organisé des batailles de samouraïs et inspiré certains des meilleurs poèmes haïku.

Bonjour été.
La marche d’été commence!
Bridge Togetsukyo pendant l’été
La navigation de plaisance est une autre activité populaire à Arashiyama
Les habitants pêchent à la rivière Oi

Temple Horinji

Assis au sommet d’une colline surplombant le pont Togetsukyo se trouve le temple Horinji. C’est l’un des cinq temples bouddhistes de Shingon Head dans la ville de Kyoto. Selon la légende, l’empereur Genmei a acheté le moine Gyoki pour le construire en l’an 713. Il était connu sous le nom de temple de Kadonoidera à l’époque. En 829, il est devenu la nouvelle maison d’une image de Boddhisatva akasagarbha (Kokūzō bosatsu) et était parce que l’on appelait le temple Horinji.

Sauf pour le gardien, il n’y avait personne d’autre au temple malgré la foule qui afflue les autres temples de la région. Une telle honte car son élevation élevée permet de merveilleuses vues sur le district et même Kyoto.

Une partie de la raison pour laquelle il n’est pas aussi fréquenté pourrait être qu’elle est cachée derrière les arbres à l’extrémité du pont. Même moi, j’ai eu du mal à le trouver. J’étais sur le point d’abandonner quand un beau vendeur nous a indiqué la meilleure direction. Le temple est disponible à travers un escalier étroit qui commence à côté d’un magasin de pâtisseries conventionnel à la fin du Togetsukyo.

Le joli temple Horinji
Le temple Horinji appartient à la foi bouddhiste du Shingon
Vue de la ville depuis le temple Horinji
Ce sont de la nourriture, pas des pierres. Je jure.

Temple Tenryuji

Considéré comme le meilleur parmi les cinq grands temples zen de Kyoto, le temple de Tenryuji a été déclaré par le gouvernement japonais comme un lieu spécial de belle beauté et en 1994 a été inscrit comme un site du patrimoine mondial de l’UNESCO. Il a été initialement fondé en 1339 par Shogun Ashikaga Takauji comme lieu de console l’esprit de l’empereur Go-Daigo. Le maître Zen Muso Soseki était le prêtre fondateur. Aujourd’hui, c’est une destination des voyageurs majeure, séduisant tout le monde avec sa beauté et sa tradition zen.

Un jardin exquis enferme ce temple, ce qui fait de la marche en soi un événement en soi. Encore une fois, j’ai pensé à son apparence pendant le printemps ou l’automne alors que je me promenais. À côté d’une salle d’abbaye se trouve l’étang Sogen, fréquenté par de nombreuses espèces d’oiseaux. Un grand héron a fait une apparition à l’étang pendant que je me suis assis au couloir.

Temple Tenryuji et Pond Sogen
Regarder! Un egret! (C’est un egret, non?)
La salle de l’abbaye à côté de l’étang
Fleur de lotus fleurissant sur un étang sur le chemin du temple Tenryuji

Sanctuaire non oméméré

Le sanctuaire de NONOMIYA implique «sanctuaire dans le pays». Un sanctuaire Shinto, il a été fondé vers 800 après JC, mais son emplacement a changé au fil des ans. Il abrite de nombreuses images de dieux, mais les plus remarquables sont le dieu du mariage et le dieu de l’accouchement facile. Il y avait autrefois plusieurs sanctuaires non Omiya, qui seraient le domicile à court terme de SAIOS. Dans l’ancien Japon, un Saio était une princesse impériale qui a été choisie pour servir un dieu. Ce non-omiya particulier a abrité une fille de l’empereur Saga à la fin du 8ème siècle.

Sanctuaire non oméméré

Foret de bambou

Juste après la sortie du jardinDébut des bosquets à couper le souffle de bambous vert. (Green Again! Mais personne ne se plaint maintenant!) Ces imposantes tiges d’herbe dominaient au-dessus d’un sentier de randonnée étroit qui serpente à travers.

Rêve de couleur chlorophylle
Vous voyez quelle est la hauteur de ces troncs en bambou?
Auvent en bambou
Je n’avais jamais vu un autre endroit à Kyoto beaucoup plus pittoresque et thérapeutique que ça! Les motards ont traversé et les amants se sont plongés doucement sous sa canopée mince, profitant d’un rêve de couleur chlorophylle. Ces troncs de bambou chuchotaient des gaïnes qui ont soufflé ce qui restait de la tristesse estivale que je portais dans mon cœur lourd.

Arashiyama m’a étouffé avec un oreiller verdoyant et j’appréciais ironiquement la façon dont cela m’a coupé le souffle. En effet, être ici pendant l’été avait une doublure argentée, sauf que ce n’était pas du tout d’argent. C’était très, très vert.

Comment se rendre à Arashiyama: de la gare de Kyoto, emmenez la ligne JR Sagano (alias Jr Sanin Line) à la gare de Saga-Arashiyama. Temps de trajet: 15 minutes. Tarif: JPY 230. De la gare de Sagaarashiyama, la région centrale d’Arashiyama peut être atteinte à pied en 5 minutes.

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